cave enchanted (pv)

**Dylan** → *arrivé(e) le* : 31/08/2015

14:00 – Il prit un manteau, une trousse de sécurité, une lampe de poche, une boussole, et une bouteille d'eau. Le bel homme pouvait maintenant se préoccuper de lui-même, une simple douche pour pouvoir se préparer à cette expédition pendant l'après-midi. Accepter une proposition de pouvoir partager un moment en leur compagnie. Le meilleur endroit pour apparemment découvrir leur paradis paradisiaque. Il était quelque peu réticent, parce qu'il y avait beaucoup mieux qu'une immense grotte, recouverte de végétation, et entourer uniquement d'une majestueuse forêt. A présent, il se pouponna, en se mettant du gel sur ses cheveux, se donnant un coup de peigne, et une simple veste vu le temps resplendissant d'aujourd'hui. Il prit son automobile, pour commencer le chemin pour retrouver ses camarades, impatient de pouvoir entreprendre une aventure entre hommes uniquement. Arrivé à destination, les hommes se retrouvaient, communiquaient, plaisantaient, en marchant pour retrouver tout le monde, et ne pas louper leur expédition. Le principe était simplement de pouvoir passer un bon moment, sans prise de tête en compagnie d'une équipe de pompier au besoin, même si aucun feu s'enflammait soudainement. Le jeune homme examina chaque personne, chaque environnement, avant de pouvoir écouter l'homme qui s'écria pour communiquer une information. Les mesures de sécurités, au besoin si quelqu'un venait à se blesser dans cette grotte, ou même si une avalanche de pierre s'écroulait précipitamment, sérieusement ? « Sérieusement, une avalanche ? » interrogea-t-il, fronçant légèrement les sourcils, sous étonnement.

Il n'était pas effrayé, néanmoins cela le surprenait, surtout que l'endroit était quasiment protégé. La marche reprit, pour pénétrer doucement, dans l'obscurité complet, entendant quelques sons, probablement ceux des chauves-souris. Le pompier marcha à la rame pour pouvoir prendre son temps, en regardant environnement.

→ *arrivé(e) le* : 31/08/2015 Localisation : Devant ma console de jeux.

En ce moment au salon c’était calme. Trop calme. Il y avait des fois comme ça où plus personne ne venait, pour que quelques jours plus tard une vague de clients ne débarquent tous en même temps pour se faire tatouer. Et en ce moment, c’était le premier cas, alors je m’étais permise de prendre quelques jours afin de profiter un peu de la fin de l’été. Et pour aujourd’hui, j’avais un idée bien précise en tête : Je voulais faire quelque chose de nouveau. Alors j’avais décidé d’un façon plutôt spontanée d’aller visiter une grotte se trouvant aux alentours de la ville. Ce matin j’étais partie au centre équestre pour pouvoir faire travailler Cahir en longe, ne pouvant plus le monter pour le moment à cause de ce foutu accident, afin d’avoir tout mon aprem de libre. Se faire empaller par une tige de fer, il n’y avait bien qu’à moi que ça pouvait arriver. Enfin, je m’en étais sortie, j’avais pas à m’plaindre.
Je ne tenais pas à aller dans cette grotte en bottes et culotte de cheval, alors j’ai prit une douche vite fait et ai enfilé un jean, un vieux débardeur noir à l’effigie du logo des Guns’n’Roses, un gilet et des bottines –sans talons ô miracle-. Après quoi je prends un peu de temps pour me retoucher niveau maquillage même si je doute que ça puisse intéresser les araignées ou les chauves-souris, et me recoiffe un peu afin de ne pas garder cette couette faite à l’arrache.
J’hésite un instant à emmener Dax avec moi. Doutant que les chiens soient acceptés, je ne préfère pas et m’y résigne alors, avant de m’emparer de mon portable, de mes écouteurs et de sortir finalement de mon appart’.
Une fois en bas, je me dirige vers mon petit bijou de carrosserie, ma vielle Mercedes 500 qui m’a été offerte par mon père en l’honneur de mon départ pour l’Afrique du Sud. D’ailleurs, la plaque est toujours écossaise, il allait falloir que je la change sous peu… Enfin. Une fois dedans j’ouvre toutes les vitres et démarre tout en montant bien le son du poste CD diffusant un morceau de Boston sur le moment.

J’arrive enfin sur les lieux, et me gare sur le parking prévu pour les visiteurs. Je sors de ma voiture et me dirige vers la billetterie pour payer la visite et le vendeur m’explique alors qu’il s’agit d’une visite libre. Pas de guide ni rien. J’hausse les épaules. Ce n’est pas bien grave, au moins je n’aurais pas à supporter les touristes qui s’arrêtent à chaque centimètre devant toi pour prendre une photo.
Je me trouve maintenant devant la grande entrée de la grotte, écouteurs aux oreilles, et je reste admirative sur le moment. La nature fait vraiment des merveilles. Puis mine de rien, ça me donne quelques idées pour de futures esquisses, et ce n’est pas plus mal.
Insouciante, je ne me préoccupe pas des dangers pouvant survenir dans la grotte. De toute façon on m’en aurait prévenue. Je m’y dirige alors, et commence la visite. Parfois je laisse mes doigts caresser les parois de pierres, fascinée par l’endroit, tout en avançant un peu plus profondément. Quelques personnes sont devant moi, d’autres derrière, mais le fait d’être seule ne me dérange pas.
Au bout d’un certain moment, j’arrive devant un passage étroit menant à une salle apparemment très jolie, à en croire les écriteaux et les commentaires des visiteurs. Alors sans réfléchir, j’attends que les personnes de devant moi aient fini leur petit tour à l’intérieur pour m’y engouffrer, n’entendant visiblement pas le craquement qui retentit derrière moi la seconde suivante.
Et sur le moment, je ne pense pas un seul instant à me dire que je n’aurais jamais du garder mes écouteurs.

**Dylan** → *arrivé(e) le* : 31/08/2015

Il observa chaque détail, les gravures qui apportait leur importance, ou même les commentaires. Le reste n'avait pas beaucoup d'importance, néanmoins il écoutait leur discutions. Les dangers des grottes, une avalanche, une attaque de chauves-souris. Ils étaient en même temps dans leur maison, normal qu'ils devaient agressifs soudainement. Le pompier aurait abordé le même comportement quand quelqu'un le dérangerait pendant son sommeil. Il serait impulsif, violent, et quelque peu désagréable. Il souffla, en roulant les yeux, avant de pouvoir commencer à boire une gorgée d'eau, avant d'entendre un craquement. Le jeune homme appela son collègue, pour lui demander s'il avait entendu le même bruit. Un bruit inquiétant, dangereux, qui signifiait que l'expédition allait prendre fin soudainement, à cause d'un important danger. Les pompiers demandèrent de rester ensemble, et de faire énormément attention. On lui demanda de faire un tour pour voir si personne ne s'était égaré, ou même balader seul, et qu'au moment elle se retrouve complétement bloquer. Il acquiesça, en marchant avec prudence dans chaque ouverture de la grotte. Le jeune homme longea le long, en observant attentivement pour être sur d'oublier personne, en remarquant un bruit, comme ceux des pas d'une personne, surement pour observer quelque chose seule, sans que quelqu'un vienne la déranger. Dylan décida de jeter un coup d’œil pour pouvoir s'assurer que personne est en danger, et la raccompagner pour la protéger d'une éventuelle avalanche, apparemment.

Il passa doucement, avec prudence dans l'ouverture, remarquant quelques fissures, qui avaient provoqué peut-être le bruit alarmant, et prochainement la fermeture de la grotte, ensemble. Le jeune homme remarqua qu'il s'agissait en faite de Avanna une tatoueuse, qu'il avait demandé des renseignements y a pas longtemps. Il espérait qu'elle le rappela, pour pouvoir écouter attentivement ses recommandations pour ne pas rester enfermer pendant longtemps dans un endroit glauque, et sans quoi survivre. Il passa ses mains sur ses épaules, avant de même retirer d'un coup ses écouteurs, étant donner que la musique était particulièrement forte pour qu'elle n'entende même pas le bruit. Dylan vint à ce moment à adresser quelque mots à la jeune tatoueuse : « Il faut décamper. La grotte porte de nombreuses fissures qui risque de tout faire s'écrouler. » avertit-il, en étant précis, mais un minimum rassurant par un sourire. « Ou vous préférez sombrer en même temps que la grotte ? » demanda-t-il.

→ *arrivé(e) le* : 31/08/2015 Localisation : Devant ma console de jeux.

Dos à la petite ouverture par laquelle j’étais entrée dans la salle de pierre, mon regard était fixé sur les parois qui avaient quelque chose de différent par rapport aux autres. Là était très certainement la particularité de l’endroit. Elles étaient plus luisantes, et à quelques endroits semblaient paraître quelques petits cristaux qui lui donnait tout un charme.
J’avais toujours mes écouteurs aux oreilles, diffusant quelque chose qui était bien loin d’être de la douce musique. Et j’avais la très mauvaise tendance à écouter très fort, c’est un fait oui. Si bien que là non plus, je n’avais pas du tout entendu le bruit des pas d’une personne entrant dans la salle, ni celui des pierres commençant à flancher. Néanmoins, je m’en doutais car il me semblait que le sol tremblait légèrement sous les pieds ce qui me fit plisser les yeux, incrédule. Puis soudainement, même avant que je n’ai eu le temps de me retourner, je sens des mains se poser sur mes épaules ce qui me fait sursauter –par peur et surprise- dans un premier temps, avant de me voir me faire retirer mes écouteurs d’un seul coup. Je recule d’un pas en me retournant, le cœur qui s’emballe à cause de l’effet de surprise et me retrouve face à Dylan. Je me souvenais de lui, je n’oubliais jamais un visage. Il était venu au salon pour avoir quelques renseignements, mais je l’avais aussi vu dans l’enceinte des bureaux de police. Enfin quoi qu’il en soit, sous l’effet de la surprise je ne parviens pas à décrocher un seul mot, qu’il vient m’informer de l’état médiocre de la grotte. Sur le moment, j’ai un peu peine à y croire, pourquoi est-ce qu’on m’aurait permit d’y entrer alors qu’elle menace de s’effondrer ? Fixant le jeune pompier d’un regard interlocuteur, il ne se passe qu’une petite seconde avant que j’ouvre finalement la bouche pour lui répondre alors que je le suivais, mais une nouvelle secousse survint, suivit d’un éboulement de pierres. J’entends des voix masculines crier à l’extérieur aux touristes de sortir tout en gardant leur calme. Tout se passa beaucoup trop vite pour me laisser le temps de réagir. Je n’ose pas regarder à travers la petite ouverture par laquelle je suis entrée, car intérieurement je sais que ce que je vais voir ne sera qu’un amas de caillasses empilées les unes sur les autres. J’adresse alors un regard paniqué au pompier, ne sachant plus comment réagir. Toutes mes émotions se bousculaient.
Foutus écouteurs.

**Dylan** → *arrivé(e) le* : 31/08/2015

Elle resta complétement muette, comme chamboulé par le retournement de situation. La jeune femme n'avait apparemment pas écouter les recommandations des pompiers. Ils connaissaient ce genre d'endroit, sombre, lugubre, mais principalement ancien. Qui risquait à tout moment de s'écrouler à cause d'une inattention. Le regard scrutait chaque endroit avec beaucoup d'attention, pour y trouver une échappatoire, un endroit un minimum grand pour pouvoir s'échapper ensemble. Il n'y avait uniquement que de la pierre. Dylan s'empara de sa main pour emmener à la grande ouverture, qui s'écroula au même moment ou il voulait la sauver. Comme un signe du destin ! Qui voulait les réunir ensemble dans un même endroit. La tatoueuse le regarda complétement paniqué, sous le récent éboulement de pierres. Il prit son talkie-walkie pour communiquer avec les pompiers, en espérant qu'ils entendraient son appel, pour pouvoir demander un coup de main, ou des renseignements.

« Oui, on va bien ! » informa-t-il par le talkie-walkie, « L'éboulement a bloqué le passage. Je m'occupe de la jeune femme pendant votre intervention. » indiqua-t-il, en regardant le passage, « On vous attend ! » conclut-t-il avant de raccrocher au même moment.

Il ne se rendait pas compte qu'il avait toujours la main de la jeune femme dans la sienne. Le jeune homme reporta son attention à ce moment, pour commencer à s'en préoccuper. Il indiqua de s'asseoir un moment pour pouvoir éviter les nombreux efforts. En même temps de déballer son sac pour pouvoir avoir le minimum à porter de mains. Une bouteille d'eau, une trousse de premier soin, une boussole, une lampe. Il devait essayé de calmer la jeune femme qui continuait à paniquer en apprenant qu'ils étaient complétement bloqué dans un endroit sombre, sans quoi manger, et peu de moyen pour tenir pendant quelques heures, cependant c'était le minimum. Les femmes et lui c'était compliqué depuis la rupture avec son ex-femme pour avoir protéger d'un homme violent. Ce qui a quand même conduit à terminer en prison, pour cette « salope » qui aimait se faire frapper apparemment par son compagnon. Il a simplement décidé de prendre un nouveau départ, et de recommencer.

« Tout va bien se passer. » rassura-t-il doucement, « Les secours ne vont pas tarder à venir. Il faut pour le moment garder son calme. Et surtout éviter de paniquer pour provoquer un énième éboulement. » prévint-il, en espérant pouvoir rassurer un minimum la personne.

→ *arrivé(e) le* : 31/08/2015 Localisation : Devant ma console de jeux.

C'était pas rassurant ça. Pas rassurant du tout, même. Il y a à peine cinq minutes que je me baladais tranquillement dans cette grotte et me voilà maintenant coincée dans une petite salle alors que dehors c'est le chaos total. Digne d'un film mais pas de la réalité, et ça me faisait flipper, y avait pas d'autres mots. Bon. Point positif, j'étais pas bloquée avec n'importe qui. Il était pompier et il semblait savoir ce qu'il faisait. Mais il n'empêche que je demeurais effrayée, même si je trouvais la situation totalement loufoque. Comme je disais, y avait qu'à moi que ça arrivait ce genre de choses. Je le laissais faire, de même lorsqu'il s'empara de ma main et je chercha pas à protester. Je savais que c'était seulement dans le but de nous faire sortir de cet endroit, mais le contact n'était pas non plus désagréable, alors je préférais me laisser faire.
Par la suite, il me demanda d'aller m'asseoir afin d'éviter de faire trop d'efforts… J'obéis, pas vraiment rassurée, et m'assied silencieusement sur la pierre constituant le sol de la salle et cherche d'un geste frénétique mon portable pour arrêter la musique qui diffusait toujours un morceau de Slayer à ce moment là. Je regarde par la suite tout ce que Dylan étale parterre, à savoir eau, trousse de premier secours et j'en passe, puis par un simple reflex je fouille dans mon propre sac pour tenter de trouver quelque chose pouvant nous être utile. Mais à part un paquet de chewing-gum entamé au cassis, des médicament et ma pommade cicatrisante, je ne trouve pas grand chose qui pourrait vraiment nous servir. Pas sûre qu'une cartouche de jeu qu'un ami m'avait filé nous soit utile dans une telle situation…
Enfin, j'échappe un profond soupir et prends un instant mon visage entre mes mains avant de ramener mes cheveux en arrière et de regarder le jeune pompier qui venait de m'adresser à nouveau la parole. A cause de la panique, je n'avais pas réussi à lui parler jusqu'à maintenant. Mais plus le temps avançait, plus je me disais que j'étais finalement tombée entre de bonnes mains. Finalement, je respire profondément et parvint alors à lui adresser un petit sourire. Puis je me rends compte qu'il serait peut-être temps de m'excuser, car c'était bien moi qui l'avait entrainé dans une telle galère. Tout ça à cause de cette fichue habitude d'écouter de la musique beaucoup trop forte.

" Excusez-moi pour vous avoir entrainé dans une telle situation", articulais-je alors, mon accent écossais évident prenant le dessus sur mes paroles. "J'aurais jamais du garder mes écouteurs."

J'étais sincère. Et plus détendue à présent. Même si c'était un endroit relativement glauque, du moins pour y être enfermé, il avait son charme et tant que ça ne durait pas trois jours ça ne pouvait pas être si terrible que ça… Enfin, j'essayais de relativiser malgré ma peur évidente d'avoir à mourir de faim ou de froid au fin fond d'une grotte. Mais il fallait bien l'avouer, je semblais me trouver en bonne compagnie, et j'avoue que le fait que l'on soit bloqués seulement tous les deux m'intriguait un peu. Après tout, ça aurait pu être n'importe qui. Mais pas aujourd'hui visiblement.
Me recroquevillant légèrement sur moi même, j'adresse un nouveau regard à Dylan et m'empresse alors de demander :

" Ça va durer combien de temps, vous pensez.. ?"

Loin de moi l'idée de presser les choses, mais je ne tenais pas vraiment à passer la nuit ici… L'ennui, le froid et la faim formait un combo bien trop désagréable. Quoi que pour le premier, j'avais bien Minecraft sur mon portable, alors on pouvait bien le supprimer pour quelques minutes. Mais quand je n'aurais plus de batterie, là c'est une autre histoire…
Enfin, là n'était pas le sujet, de toute façon.

**Dylan** → *arrivé(e) le* : 31/08/2015

Il n'était pas trop tôt. Le jeune pompier aurait pu croire qu'elle était muette, ou était devenu soudainement avec l'éboulement. Cela ne doit pas être forcément agréable de rester en compagnie avec quelqu'un qui ne communique même pas. Le seul bruit pouvait être une bonne compagnie, comme le bourdonnement des chauves-souris, le ruissellement de l'eau, les craquements des pierres tombant bruyament sur le sol. Dylan ne lui en voulait pas le moins du monde. Le genre de problème que rencontrer souvent les pompiers ou qui avaient droit de temps en temps, en même temps c'était leur métier de se préoccuper de son prochain. Il se demandait comment il pouvait accepter de devenir pompier volontaire. Après avoir passer quatre longue et interminable années en prison, pour protéger quelqu'un. Le besoin de se racheter après avoir tuer quelqu'un qui le méritait amplement. Le jeune homme reporta son attention sur la tatoueuse, qui se reprocha de garder ses écouteurs au moment de l'éboulement. La raison de leur enfermement temporaire dans une caverne, sombre, humide, et glauque, qui n'était pas forcément rassurant pour Avanna. La situation était quelque peu inquiétante, avec le peu de moyen, que Dylan avait pour subvenir au besoin de deux personnes. ― Ce n'est rien. On a habitude de rencontrer ce genre de situation, rassura-t-il concernant son inquiétude, pour avoir entrainer en même temps dans un éboulement. Le tout, parce qu'elle était préoccupé par le son de son appareil, qu'elle n'avait même pas remarqué le craquement. ― Il faudra être plus vigilent, la prochaine fois, conseilla-t-il pour que cette situation ne se reproduise plus, prochainement.

Il ne pouvait pas prédire combien de temps cela prendrait pour déboucher l'antre, néanmoins il espérait que cela ne s'éternise pas longtemps. Dylan déposa sa main sur son épaule pour être un minimum rassurant. La durée exacte personne ne pouvait le savoir vraiment, une des raisons fondamentales, que beaucoup estime en temps, avec "environ" pour ne pas donner trop d'espoir aux personnes dans ce genre de situation, inquiétante, ou le manque d'air peut survenir à tout moment. Il fallait donc garder son calme, économiser un minimum d'air, en essayant de se préserver d'un froid. Le temps était légèrement plus froid, vu qu'aucun air ne s'échappait de l'endroit. Et par pur précaution, il commença à enlever son manteau pour le déposer sur ses épaules, pour qu'au moins elle ne tombe pas brusquement malade. ― Tout dépend du temps qu'ils prennent à débloquer la grotte. Cela peut prendre quelques heures, comme quelques jours, expliquait-il sur combien de temps ils risquaient de rester dans cet endroit sombre, étroit, et quelque peu accomodant. Il scrute chaque recoin, espérant trouver quelque chose qui pourrait les aider un minimum de temps. Les pierres, des magnifiques cristaux, quelques déchets par les touristes, irrespectueux. Autant dire par énormément de chose. Le bel homme tenta de se redresser pour pouvoir rechercher. Il jeta quelques coup d'oeil par dessus son épaule pour protéger Avanna. La communication pourrait éventuellement détentre amosphère. Elle pourrait ne plus se préoccuper qu'ils sont ensemble enfermer quelque part. ― Quel était le but de votre expédition, Avanna ? C'est bien ça ? questionna-t-il, tout en gesticulant pour découvrir le moindre objet. Il espérait que comme ça, elle pourrait un peu se détendre, même si on pensait constament à l'endroit.

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